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23 novembre 2013

Cameroun : Les riveraines de l’usine à gaz de Logbaba aux abois

Classé dans : Non classé — ganola @ 14 h 25 min

photo logbabaCe projet d’envergure basée dans la ville de Douala, a été conçu dans l’ignorance des intérêts de la société camerounaise.

Le projet d’exploitation du gaz de Logbaba est en ce moment, au centre d’une controverse qui ne cesse d’alimenter les tensions sociales. Ce projet est appelé,  Projet Gaz de Logbaba parce qu’en 1957, Logbaba était le terminus de la voie ferrée. Et la société ELF qui menait les travaux d’exploration sur le site gazier, utilisait le chemin de fer pour acheminer son matériel. En réalité, les installations du projet d’exploitation se trouvent à Ndogpassi plus précisément au lieu-dit Logmayangui. On apprend que c’est en 2001, qu’un permis d’exploitation gazière a été délivré au groupe britannique VOG (Victoria Oil and GAS), à travers sa filiale Rodeo Development Limited sur une superficie estimée à 20 km2. Le site gazier se trouve en plein cœur du quartier Ndogpassi à Douala. Dans cette zone de la capitale du Littoral abritant 130.000 âmes, le gisement gazier a été découvert en 1957. VOG opère dans les domaines d’exploration et d’exploitation d’hydrocarbures en Afrique et FSU. Ses principaux actifs sont de 95% de parts dans le projet de gaz de Logbaba.

Victoria Oil and Gas détient 100% des projets de gaz et pétrole installés à l’ouest de Medvezhye en Russie. Depuis le 02 juillet 2011, VOG est l’actionnaire principal du projet d’exploitation de gaz de Logbaba. Le groupe RSM Production Corporation qui détenait 38% des parts dans le projet et qui avait la charge de diligenter certaines affaires mégalo-opérationnelles s’étant retiré, Victoria Oil and Gas a pour coactionnaire dans le projet, la Société Nationale des Hydrocarbures en abrégé SNH. La SNH détient 5% des parts dans le projet d’exploitation de gaz de Logbaba.  Les travaux d’exploration liés au projet ont débuté en juin 2009. Ils se sont achevés en 2011, avec la signature par le président Paul Biya au mois d’avril, du décret 2011/112 l’autorisation d’exploitation à la société Rodeo. Ce gisement d’envergure doit être exploité pendant 25 ans avec en option la possibilité, de poursuivre l’activité extractive sur le site durant 15 années supplémentaires. Dès l’entame de la phase exploratoire du projet, des dérapages ont été enregistrés. La législation camerounaise en ce qui concerne l’activité extractive industrielle a été foulée au pied.

Le projet d’exploitation de gaz de Logbaba, a été lancé sans certificat de conformité environnementale. Rodeo a procédé en 2009, aux premiers travaux de forage sur le site gazier. Précisons que l’opération s’est déroulée en violation de la législation en vigueur. Et c’était au lendemain de la réunion d’information des populations, par rapport à la mise en exploitation du gisement gazier de Logbaba. En septembre 2009, des audiences publiques ont eu lieu parce que les riverains se sont révoltés. Ces audiences avaient pour but, de présenter l’étude d’impact environnemental du projet de Logbaba. Les rares riverains qui étaient au total 207, n’ont pas pu émettre des avis objectifs sur le projet. Les documents soumis à leur attention étaient libellés en anglais. Pourtant les populations sont de souche francophone. A ceci, il faut ajouter la non-maîtrise par les populations, des connaissances liées aux projets gaziers et à leur impact sur l’environnement. Au départ, les ménages et les biens affectés par le projet gazier de Logbaba n’ont pas été répertoriés.

C’est en mai 2009, que la Commission de Constat et d’Evaluation (CCE) a dressé un répertoire. Et ce, en violation de la législation et des dispositions de l’étude d’impact. Les dispositions stipulaient qu’avant toute activité exploratoire sur le site, que les familles habitant le périmètre de sécurité soient évacuées. Il fallait procéder à cette opération pour éloigner les populations des explosions, des tremblements de terre, des difficultés d »accès aux chaumières, de la température élevée et des caprices des différents réseaux d’approvisionnement en eau et électricité. Les enquêtes visant à identifier et à évaluer les biens à détruire, se sont effectuées  dans le mépris des règles en vigueur. Cela a été fait à dessein dans l’optique d’amener les ménages, à proposer des pots de vins aux agents de la CCE. C’est ainsi qu’on s’est retrouvé avec des biens tantôt sous-évalués, tantôt surévalués. Les montants des indemnisations ont été arrêtés sur la base de l’action de la Commission de Constat et d’Evaluation.

Dans le décret d’indemnisation de 2012, on relève que les montants alloués aux biens à détruire, ne correspondent pas à la réalité. Le Centre d’Action pour la Vie et la Terre (CAVT) s’en est plaint auprès de la Commission Nationale Anti Corruption en abrégé CONAC. Mais curieusement, la CONAC est restée muette. Complicité ou négligence? En septembre 2012, une enquête a été initiée par le gouverneur du Littoral et le préfet du Wouri. On attend toujours les résultats de cette enquête. Le déplacement des populations a été effectué dans la violence. En avril 2013, les chefs de familles se sont retrouvés dans les services du préfet du Wouri. Les autorités les ont poussé à signer des documents, sans avoir eu le temps de consulter leur contenu. Tous ceux qui ont essayé de s’opposer à cette pratique, ont été purement et simplement jetés dehors par les forces de l’ordre. A l’issue de cette honteuse opération, des enveloppes minables ont été distribuées.  Courroucés par les indemnisations jugées injustes et inéquitables, certains chefs de familles ont refusé de quitter leurs habitations. C’est la descente musclée du Bataillon d’Intervention Rapide (BIR), qui les a poussé à capituler. D »après des témoins, les agents de ce corps d’élite de l’armée camerounaise se seraient livrés à des actes de viol public. Malgré ces pratiques, les membres de la famille Nami ont continué la résistance. Le plan de développement local n »a pas été pris en compte dans le projet d’exploitation du gaz de Logbaba. A quoi sert un projet s’il n’intègre pas la notion d’intérêt commun?

18 novembre 2013

Cameroun : Paul Biya procède à la pose de la première pierre du deuxième pont sur le Wouri

Classé dans : Non classé — ganola @ 15 h 38 min

paul biyaLa cérémonie s’est déroulée le jeudi 14 novembre 2013 dans la ville de Douala, en présence des élites du Littoral et des invités spéciaux.

Près de 110 milliards de Francs CFA ont été mobilisés pour l’édification du deuxième pont sur le Wouri. Ce projet d’envergure va permettre de désengorger la circulation sur l’ancien pont qui date de 1954. Le deuxième pont sur le Wouri est constitué d’un pont avec un tablier routier à 5 voies, dont deux voies partant de Deido vers Bonabéri et 3 voies de Bonabéri vers Douala., et un tablier ferroviaire à 2 voies. Les 2 voix de l’ancien pont seront réservées au trafic de Deido vers Bonabéri. Les usagers allant de Deido vers Bonabéri auront 4 voies tandis que ceux allant de Bonabéri à Douala en auront 4. Soit  7 voies au total au lieu de 2 voies actuellement disponibles pour les 2 sens. Les tabliers routes et rail sont des caissons en béton précontraint à hauteur variable construit encorbeillements successifs. Ils ont chacun 8 travées. La largeur du tablier est de 24 mètres et celle du tablier rail est de 10,10 mètres. Soit une largeur totale de 81,1 mètres pour le pont.

Les travaux de construction du deuxième pont sur le Wouri seront réalisés par le groupement d’entreprises constitué notamment de SOGEA-SATOM pour un montant de 109,16 milliards de FCFA répartis ainsi qu’il suit. 100,87 milliards pour la conception et la réalisation. 5,2 milliards pour l’assistance à la maîtrise d’ouvrage. Et 1,5 milliard pour les expropriations et le déplacement des réseaux d’eau, d’électricité, de téléphone etc. Le projet sera exécuté sur une période de 44 mois dont 8 pour la phase de conception et 36 pour celle des travaux. Il est financé par l’agence Française de Développement en abrégé AFD. Cette institution a déboursé 66 milliards pour la réalisation du deuxième pont sur le Wouri. Le deuxième Contrat de Désendettement et de Développement (CD2D) a proposé 20 milliards de FCFA. Pour boucler le financement, le budget de l’Etat du Cameroun a dégagé 23,16 milliards de nos francs.

10 novembre 2013

Cameroun : Jean Marie Aboganena promeut l’éthique

Classé dans : Non classé — ganola @ 17 h 23 min

s-JEAN-MARIE-ABOGANENA_med1Le promoteur de Jama Conseil prépare le lancement des activités du Conseil Africain pour l’Ethique et la Citoyenneté en abrégé CAPEC. Il l’a fait savoir au cours d’une causerie éducative organisée ce samedi 09 novembre 2013 à Yaoundé.

Le CAPEC est une association ayant pour but le changement radical des comportements au Cameroun en particulier, et en Afrique en général. Le Conseil Africain pour l’Ethique et  la Citoyenneté fonctionne sous l’autorisation N°00001767/RDA/JOG/BAPP du 12 novembre 2012. Jean Marie Aboganena en est le président fondateur, et il a pour vice-président Biloa Ayissi. Un bureau en bonne et due forme est déjà constitué. Le CAPEC trouve son origine dans les multiples frustrations que son père géniteur a subies, tout au long de son parcours dans le domaine de l’événementiel au Cameroun. Aboganena est un ancien rédacteur du magazine panafricain dénommé Africa International. Pour des faits qu’il n’a pas commis, notre confrère vient de passer 5 mois à la Prison Centrale de Kondengui. Cet épisode douloureux, est le bouquet qui l’a poussé à mettre sur pied le Conseil Africain pour l’Ethique et la Citoyenneté. Au regard  des comportements qui ne cessent de se dégrader au Cameroun, on peut affirmer mordicus que le CAPEC a le droit d’exister. La déviance s’est profondément installée dans les habitudes des Camerounais. Si rien n’est engagé pour stopper l’hémorragie, le civisme risque de terminer sa course au cimetière.

La série des crimes rituels qui ont endeuillé, des dizaines de familles sur le sol national est une parfaite illustration de la déviance. Il faut ajouter à ce tableau sombre, le monnayage des recrutements, l’achat des notes, le sabotage des équipements, le désordre urbain, le trafic d’organes humains, l’insécurité grandissante, les détournements de fonds publics, le mauvais accueil dans les services publics, l’enrichissement illicite, la contrebande, la fraude douanière, l’homosexualité, la zoophilie etc. Tous ces maux pourront bientôt trouver des remèdes, si tous les Camerounais adhèrent au projet du CAPEC. La société camerounaise a perdu tous ses repères surtout depuis que la misère et la pauvreté, se sont installées dans nos villes et villages. Le bon sens n’est plus la chose la mieux à l’heure actuelle. Tous les moyens sont bons pour vu qu’ils permettent d’atteindre le but. Il faut donc repenser les comportements. Dans un premier temps, le CAPEC a décidé de se déployer en milieu universitaire. Pour Jean Marie Aboganena, les étudiants ont une capacité extraordinaire à intégrer le changement. La preuve, après la résurgence du multipartisme au Cameroun en 1990, la population estudiantine a permis de donner un souffle nouveau à la politique nationale.

Contrairement au Club Ethique de Charles Atéba Eyéné, le Conseil Africain pour l’Ethique et la Citoyenneté entend bénéficier de l’appui de toutes les âmes de bonne volonté. Le CAPEC est ouvert à toutes les couches sociales. Une maxime française nous enseigne que l’union fait la force. Le changement radical des comportements ne peut pas s’opérer, si toute la communauté nationale reste indifférente. Le développement avant de prendre forme sur le terrain, commence dans les esprits. Vu les défis qui attendent notre pays, notamment l’émergence en 2035, on ne peut pas avancer si les comportements laissent à désirer. Pour soutenir ses efforts de changements, le CAPEC a besoin de ressources pour remplir sa mission. Ses ressources financières proviennent des adhésions, des cotisations, des activités génératrices de revenues, des dons et legs.  Des partenaires établis en Occident sont prêts à financer les activités du Conseil Africain pour l’Ethique et la Citoyenneté.  Dans les jours qui viennent, le CAPEC sera officiellement présenté à Yaoundé. Selon son fondateur, la cérémonie va se dérouler au Hilton Hotel. On espère que les Camerounais ne vont pas se monter réfractaires au changement radical des comportements.

8 novembre 2013

Union Européenne : Les autorités disposées à accueillir les gays africains persécutés

Classé dans : Non classé — ganola @ 11 h 54 min

Union Européenne : Les autorités disposées à accueillir les gays africains persécutés photo-alice-nkom-300x180La  Cour de Justice de l’Union Européenne vient de demander, à tous les pays membres de l’Union Européenne d’accorder l’asile aux homosexuels d’Afrique en difficulté, en raison de leur orientation sexuelle. 

La décision de l’instance judiciaire européenne fait déjà des heureux sur notre continent. C’est le cas de la Camerounaise Alice Nkom, qui ne tarit pas d’éloges à l’endroit de la Cour de Justice de l’Union Européenne. La question de l’homosexualité a toujours divisé l’opinion en Afrique. Cette pratique est farouchement combattue dans 38 pays africains. L’entretien  des rapports sexuels entre les personnes de même sexe, n’est pas vu d’un bon œil. Ceux qui choisissent de pratiquer l’homosexualité, sont obligés de le faire en catimini. La société africaine ne tolère pas le fait que,  l’Occident veuille imposer à tout prix ses habitudes aux Etats africains. Chaque peuple a le droit de choisir ce qui est bon pour son épanouissement. Les gouvernements du continent noir ne peuvent pas donc encourager la dépravation des mœurs. L’homosexualité ne peut rien apporter à l’Afrique. Au contraire, elle participe à  son avilissement et à sa clochardisation. Tous ceux qui tentent de s’opposer à l’expansion de l’homosexualité sont accusés d’homophobie par les Occidentaux. Malgré cela des gens sont jetés au cachot pour pratiques homosexuelles.

Au Cameroun par exemple, toute personne rendue coupable d’acte en rapport avec l’homosexualité est punie par la justice. Inutile de citer les noms des individus, ayant flirté avec la prison pour homosexualité. C’est cette catégorie de personne, que vise la décision de la Cour de Justice de l’Union Européenne. On risque d’assister dans les jours qui viennent au renforcement du flux migratoire vers le vieux continent. Tous les gays ayant séjourné au bagne à cause de leur orientation sexuelle, vont certainement solliciter l’asile en Belgique ou dans un autre pays d’Europe.  Voilà la porte ouverte à une nouvelle forme d’immigration choisie qui ne dit pas son nom. On redoute que la demande ne soit plus forte que l’offre. Les ambassades et les consulats seront de plus en plus pris d’assauts par les homos persécutés. Des gens vont même se fabriquer un statut d’homosexuel persécuté pour obtenir facilement un visa. Après la fuite des cerveaux, le continent africain trouve là une occasion de se vider davantage. Désormais il faudra être un homosexuel pour voyager aisément. Si le vice peut permettre à un homme ou à une femme de s’expatrier qui peut  demander mieux?

Les Occidentaux ne doivent pas toujours chercher à remorquer les Africains à toutes les occasions. Pourquoi vouloir imposer au forceps des pratiques qui ne cadrent pas avec notre tradition? L’homosexualité ne deviendra jamais une vertu même si l’immense majorité de l’humanité l’adopte. A partir du moment où une liaison, entre des partenaires de même sexe ne conduit pas à la procréation il y a problème. Toutes les pressions exercées sur nos dirigeants ayant montré leurs limites, les Européens sont contraints d’importer des homosexuels à partir de l’Afrique. C’est la naissance de la traite des homosexuels. Les préjudices subis durant la période de la traite négrière n’ont pas encore été réparés. Mais les Occidentaux veulent ouvrir une nouvelle plaie qui aura du mal à se refermer. On ne peut pas mesurer toute la douleur que les parents africains ressentent, en voyant leurs rejetons dans les sentiers de la perversion. Des familles sont actuellement déchirées, parce que la culture du vice est devenue une règle. Où va le monde?

7 novembre 2013

Cameroun : Les réseaux en action contre Ndédi Eyango

Classé dans : Non classé — ganola @ 14 h 10 min

Cameroun : Les réseaux en action contre Ndédi Eyango photo-ndedi-eyango-300x203Le nouveau Président du Conseil d’Administration de la Société Civile Camerounaise de l’Art Musical (SOCAM) aurait selon nos sources, fait l’objet d’une réunion ce lundi 04 novembre 2013 à Yaoundé dans les Services du Premier Ministre.

Sa brillante élection à la tête de la SOCAM n’a pas pu décourager ses détracteurs. Ces derniers continuent de penser que, le natif de Ngalmoua ne mérite pas son poste de PCA. Avant la tenue de l’Assemblée Générale Elective (AGE) du 02 novembre dernier au Palais des Congrès de Yaoundé, AGE  qui s’est soldée par sa victoire, le musicien camerounais a été au centre d’une virulente campagne de dénigrement. Des documents ont été distribués aux hommes de médias pour saquer Prince Eyango. Des mauvaises langues ont soutenu qu’il est de nationalité américaine, et que pour cette raison sa candidature devait être rejetée. Ses ennemis ont pris appui sur le fait que notre compatriote détient un passeport américain. Tous ces arguments n’ont pas peser contre lui. Les artistes camerounais se sont bouchés les oreilles, et pris sur eux de voter Prince Eyango au poste de Président du Conseil d’Administration de la SOCAM. L’immense majorité des sociétaires et stagiaires de la SOCAM, ont aujourd’hui la joie au cœur parce qu’une page de l’histoire de la Société Civile Camerounaise  de l’Art Musical a été tournée le 02 novembre dernier.

Ceux qui veulent s’attaquer en ce moment à l’histoire, devraient faire très attention. S’il faut parler de la double nationalité nombre de nos compatriotes se trouveraient épinglés. Célestine Kétcha Courtes malgré le fait qu’elle soit Franco-Camerounaise a été réélue à la tête de la Commune de Bangangté. Patrick Mboma Ndem, Joseph Antoine Bell, William Andem, Alioum Boukar… ont défendu les couleurs de l’équipe nationale de football du Cameroun, en dépit de leur double nationalité. A l’heure actuelle, les buts des Lions Indomptables sont gardés par Charles Itanjé, qui a joué sous les couleurs françaises. Pourquoi des voix ne s’élèvent-elles  pas pour crier au scandale.  La mairie de la localité d’Akono est dirigée par une femme blanche de peau et de nationalité française. Une source précise que la candidature de Prince Ndédi Eyango a été annulée avant le double scrutin que le Cameroun vient d’abriter. Raison évoquée, sa double nationalité. Pendant ce temps, un candidat aux législatives issu du parti du flambeau présentant le même profil a été retenu.

Pourquoi cette politique de deux poids deux mesures? Soulignons que Manu Dibango a été porté à la tête de la Cameroon Music Corporation (CMC), nonobstant sa double nationalité. Des âmes sont convaincues que le célèbre saxophoniste est de nationalité française. Au vu de ce qui se passe, on peut affirmer sans ambages que le prince des montagnes, est tout simplement victime d’un acharnement qui ne dit pas son nom. Les artistes membres de la SOCAM l’ont choisi et savent pourquoi. Ce qui est importe le plus, c’est la défense des intérêts collectifs. Admettons que Ndédi Eyango est Américain. Cet aspect n’enlève rien à sa popularité sans borne au milieu de ses  camarades. Sa valeur est plus importante que le débat dans lequel, certains esprits malveillants veulent nous plonger. Il faut être fier d’une chose. La sérénité est revenue au sein de la Société Civile Camerounaise de l’Art Musical. C’est nécessaire de s’en réjouir. La SOCAM a pendant longtemps été un panier à crabes où des gens ont expérimenté la cupidité. A cause de cela, bon nombre de personnes ont appelé le changement de tous leurs vœux. Nous souhaitons que le changement prenne effet avec l’installation du PCA Ndédi Eyango dans les jours qui viennent.

 

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