Cameroun : L’opinion menée en bateau dans l’Affaire Gisèle Alima
Ce qui est considéré comme la cabale du siècle, orchestrée contre le Directeur du Cabinet Civile de la Présidence de la République, a retenu l’attention de tout le peuple camerounais.
Martin Belinga Eboutou revient vraiment de loin. Cette expression consacrée trouve tout son sens, dans la campagne de dénigrement que ce cadre de la République vient de subir. Une employée de maison nommée Gisèle Alima, a fait usage du mensonge et de la manipulation pour ternir l’image du Directeur du Cabinet Civile (DCC) de la Présidence de la République. C’est sur internet que l’ex-employée de maison du DCC s’est produite. Cette dernière s’est retrouvée au Pays de l’Oncle Sam à la faveur de la nomination de Belinga Eboutou. Des sources dignes de foi, on apprend que monsieur Belinga Eboutou a été nommé au poste d’ambassadeur du Cameroun aux Nations Unies. Sachant que son départ du Cameroun devait engendrer des désagréments à sa domestique, l’homme a donc décidé de s’installer à New York avec elle. Aux Etats-Unis, l’aventure de Gisèle Alima a pris fin en raison des difficultés de trésorerie. Cette démarche était tout à fait logique, parce qu’il ne fallait pas bénéficier gratuitement des services de la ménagère.
Le contrat liant Gisèle Alima à monsieur l’ambassadeur a pris fin le 04 novembre 1999. En guise de droits de séparation, madame Alima a reçu une somme équivalente à 1 mois de salaire. Un billet d’avion pour son retour au pays lui a même été gracieusement offert. Tout s’est passé en conformité avec la loi. Au lieu de regagner le Cameroun, notre concitoyenne a choisi de prolonger son séjour au pays de Barack Obama. Après l’expérience sous le toit de Martin Belinga Eboutou, la vie a commencé à devenir compliquée pour l’ex-ménagère. Au fur et à mesure que le temps passait, ses chances de tenir le coup ne faisaient que diminuer. Mais comme elle était animée par l’ambition de réussir, Madame Alima a continué de naviguer à vue. Puis un jour, la bonne dame a pensé qu’il fallait inventer une histoire pour relancer sa vie. Dans une vidéo qui dure près de 38 minutes, Gisèle Alima ne cesse de diaboliser Martin Belinga Eboutou. D’après elle, c’est l’actuel Directeur de Cabinet Civile de la Présidence qui est à l’origine de toutes ses misères.
Ses allégations non fondées ont dangereusement déstabilisé l’homme d’Etat. Il a fallu un droit de réponse émis par Prime Potomac Group pour que la vérité éclate au grand jour. Des documents accablants ont même accompagné, les révélations que le cabinet de communication new yorkais a faites sur l’Affaire Gisèle Alima. Le DCC Belinga Eboutou a été tout simplement victime d’une cabale médiatique, savamment orchestrées par des experts en la matière. Grâce au droit de réponse, l’honneur et la dignité du plus proche collaborateur du président ont été rétablis. Quelques soient les moyens déployés, la vérité finit toujours par triompher. L’opinion nationale pense que madame Alima a fait preuve de mauvaise foi. Au lieu de salir la réputation du Directeur du Cabinet Civil de la Présidence Martin Belinga Eboutou, Gisèle Alima aurait dû entrer discrètement en liaison avec l’ex-ambassadeur pour sortir du pétrin. Des témoins affirment que Belinga Eboutou est sensible aux cris de détresse. Tout est bien qui finit bien.