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29 mai 2014

Trafic international de drogue : Le Sahel et l’Afrique de l’Ouest parmi les foyers mondiaux

Classé dans : Non classé — ganola @ 15 h 38 min

Cet espace géographique accueille au quotidien des cargaisons de cocaïne et d’héroïne, en provenance d’Amérique Latine et d’Afghanistan.

Zone traditionnelle de contrebande en raison de ses multiples voies de circulation entre l’Afrique saharienne et le Maghreb, le Sahel est considéré depuis longtemps comme un foyer de trafic et de contrebande de cannabis principalement cultivé au Maroc. Au début du XXI eme siècle, la partie Nord-Ouest de l’Afrique s’est érigée en haut lieu du commerce de drogue toutes catégories confondues. Le trafic des stupéfiants a entraîné la naissance des groupes criminels bien structurés, disposant de moyens financiers et militaires accrus. Parmi les organisations terroristes ayant bâti leur influence sur le trafic de drogue, on peut citer Bokom Haram. L’industrie de la drogue installée en Amérique du Sud, utilise les routes le long du 10 eme parallèle pour pénétrer par l’Afrique de l’Ouest.
Ce trafic est en outre aggravé, par la présence de la cocaïne et de l’héroïne provenant d’Afghanistan, et transitant aussi par cette zone ainsi que la côte Est de l’Afrique. La drogue est ensuite acheminée vers le Tchad, le Mali, le Niger, le Maroc et l’Algérie. Les frontières de ces pays offrent une porosité extraordinaire. Cela facilite l’acheminement de la drogue vers l’Europe. Selon l’Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime (ONUDC), en 2012, 50 tonnes de cocaïne d’un montant de 2 milliards de dollars et équivalant aux PNB de la Guinée et de la Sierra Leone réunis ont transité par l’Afrique de l’Ouest. Le montant des transactions liées au trafic de la drogue en l’Afrique de l’Ouest dépasse le budget de bon nombre d’Etats sahéliens. L’essentiel de la cocaïne passe par le Ghana, la Guinée Bissau, le Cap Vert et la Guinée Conakry.
Ces Etats constituent des plaques tournantes depuis lesquelles, des mules voyageant à bord des vols commerciaux transportent la drogue jusqu’à leur destination finale. Le nouveau rapport de l’ONUDC indique que la cocaïne n’est pas le seul produit qui transite par l’Afrique de l’Ouest. Ses auteurs s’inquiètent de l’émergence de la production de méthamphétamine au Nigeria, où deux laboratoires ont été repérés en 2011 et 2012, ainsi que le nombre de mules qui auraient transporté l’équivalent de 360 millions de ce stupéfiant vers l’Afrique de l’Afrique de l’Est en 2010. Les zones de départ sont en constante évolution. La baisse de la production colombienne, a permis la hausse de celles du Venezuela, de la Bolivie et du Pérou. Le Brésil se développe depuis quelques années comme zone de transit et plaque tournante.
Les zones d’arrivée se diversifient et se déplacent vers le Golfe de Guinée (Ghana-Togo-Bénin- Nigeria). Les anciennes cargaisons transportées par voies maritimes commerciales, laissent la place à de petites quantités à bord de vecteurs multiples, aussi bien maritimes qu’aériens. Le Nigeria, le Ghana, le Bénin et le Togo représentent une zone d’arrivée et de transit sous le contrôle des groupes nigérians. Avec la hausse de la production et de la consommation de la drogue, la piraterie et l’instabilité politique, l’Afrique de l’Ouest pose un défi important tant elle ne constitue plus simplement une voie de transit, mais aussi une destination finale pour la revente des stupéfiants. Ce trafic de drogue est aggravé par les liens tissés entre les narcotrafiquants, les gouvernants et les appareils sécuritaires de la région ainsi que certains groupes terroristes présents au Sahel, tel que le Mouvement d’Unité pour le Jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO). 25% de la cocaïne à destination de l’Europe transite par l’Afrique de l’Ouest. photo cocaine

15 mai 2014

Cameroun : L’opinion menée en bateau dans l’Affaire Gisèle Alima

Classé dans : Non classé — ganola @ 18 h 25 min

Ce qui est considéré comme la cabale du siècle, orchestrée contre le Directeur du Cabinet Civile de la Présidence de la République, a retenu l’attention de tout le peuple camerounais.

Martin Belinga Eboutou revient vraiment de loin. Cette expression consacrée trouve tout son sens, dans la campagne de dénigrement que ce cadre de la République vient de subir. Une employée de maison nommée Gisèle Alima, a fait usage du mensonge et de la manipulation pour ternir l’image du Directeur du Cabinet Civile (DCC) de la Présidence de la République. C’est sur internet que l’ex-employée de maison du DCC s’est produite. Cette dernière s’est retrouvée au Pays de l’Oncle Sam à la faveur de la nomination de Belinga Eboutou. Des sources dignes de foi, on apprend que monsieur Belinga Eboutou a été nommé au poste d’ambassadeur du Cameroun aux Nations Unies. Sachant que son départ du Cameroun devait engendrer des désagréments à sa domestique, l’homme a donc décidé de s’installer à New York avec elle. Aux Etats-Unis, l’aventure de Gisèle Alima a pris fin en raison des difficultés de trésorerie. Cette démarche était tout à fait logique, parce qu’il ne fallait pas bénéficier gratuitement des services de la ménagère.
Le contrat liant Gisèle Alima à monsieur l’ambassadeur a pris fin le 04 novembre 1999. En guise de droits de séparation, madame Alima a reçu une somme équivalente à 1 mois de salaire. Un billet d’avion pour son retour au pays lui a même été gracieusement offert. Tout s’est passé en conformité avec la loi. Au lieu de regagner le Cameroun, notre concitoyenne a choisi de prolonger son séjour au pays de Barack Obama. Après l’expérience sous le toit de Martin Belinga Eboutou, la vie a commencé à devenir compliquée pour l’ex-ménagère. Au fur et à mesure que le temps passait, ses chances de tenir le coup ne faisaient que diminuer. Mais comme elle était animée par l’ambition de réussir, Madame Alima a continué de naviguer à vue. Puis un jour, la bonne dame a pensé qu’il fallait inventer une histoire pour relancer sa vie. Dans une vidéo qui dure près de 38 minutes, Gisèle Alima ne cesse de diaboliser Martin Belinga Eboutou. D’après elle, c’est l’actuel Directeur de Cabinet Civile de la Présidence qui est à l’origine de toutes ses misères.
Ses allégations non fondées ont dangereusement déstabilisé l’homme d’Etat. Il a fallu un droit de réponse émis par Prime Potomac Group pour que la vérité éclate au grand jour. Des documents accablants ont même accompagné, les révélations que le cabinet de communication new yorkais a faites sur l’Affaire Gisèle Alima. Le DCC Belinga Eboutou a été tout simplement victime d’une cabale médiatique, savamment orchestrées par des experts en la matière. Grâce au droit de réponse, l’honneur et la dignité du plus proche collaborateur du président ont été rétablis. Quelques soient les moyens déployés, la vérité finit toujours par triompher. L’opinion nationale pense que madame Alima a fait preuve de mauvaise foi. Au lieu de salir la réputation du Directeur du Cabinet Civil de la Présidence Martin Belinga Eboutou, Gisèle Alima aurait dû entrer discrètement en liaison avec l’ex-ambassadeur pour sortir du pétrin. Des témoins affirment que Belinga Eboutou est sensible aux cris de détresse. Tout est bien qui finit bien.martin belinga eboutou

19 avril 2014

Cameroun : Omer Faruk Dogan en visite aux Synergies Africaines

Classé dans : Non classé — ganola @ 17 h 45 min

L’ambassadeur de la République de Turquie accrédité à Yaoundé, a rencontré le secrétaire exécutif Jean Stéphane Biatcha le 17 avril 2014.

 Cette visite vient mettre en évidence le désir de la Turquie de coopérer avec l’ONG panafricaine. Au cours des échanges, Omer Faruk Dogan et Jean Stéphane Biatcha ont exprimé leur immense détermination à échanger leurs expériences. L’ambassadeur de Turquie a déclaré que son pays est prêt à accorder son soutien à Synergies Africaines. C’est le 17 avril dernier que les deux hommes se sont rencontrés au siège de Synergies Africaines situé au quartier Melen à Yaoundé. L’œuvre humanitaire de la Première Dame du Cameroun, va bénéficier de l’attention particulière du gouvernement turc.Tandis que certains pays membres de l’Union européenne tentent de préserver leur système économique et social, la Turquie affiche des chiffres de croissance presque insolents, avec 9,2 pour cent en 2010 et de 8,5 pour cent en 2011. Elle est devenue une puissance économique incontournable en Europe et dans le monde, l’une des plus dynamiques. Elle devrait même enregistrer la plus forte croissance économique de l’OCDE sur la période 2011-2017, avec un taux de croissance annuel moyen du PIB réel de 6,7 pour cent. L’agence de notation Fitch Ratings a récemment récompensé la bonne marche de l’économie turque en relevant la note d’Ankara en catégorie investissement. L’Ambassadeur de Turquie a dit avoir gardé un grand souvenir de la cérémonie de rétrocession de matériels et d’équipements médicaux offerts par un mécène d’origine turque, Yasin Jason Ason  Erdem, résidant au Canada, le 10 avril 2014.

biatcha et faruk

 

Cameroun : Jean David Bilé sur le terrain

Classé dans : Non classé — ganola @ 17 h 07 min

Le Directeur Général et son équipe ont effectué le 11 avril dernier, une descente dans certains postes de production et quartiers de la ville de Douala.

Cette tournée de Jean David Bilé peut être qualifiée de pédagogique. Au cours des échanges avec les populations et les journalistes, le patron d’AES SONEL a su trouver des réponses appropriées aux questions posées. La première étape de cette descente du vendredi 11 avril 2014, a été la visite du Poste Interconnecté de Logbaba. Ce bloc technique exploite l’énergie électrique produite par la Centrale Hydro-électrique de Songloulou. Un cadre de l’entreprise AES SONEL a reconnu qu’il y a des problèmes, au niveau des pôles des disjoncteurs du Poste de Transformation de Logbaba. Tous les autres postes de transformation connaissent ce problème. Les intempéries et le temps, agissent négativement sur les équipements. C’est pour cette raison qu’on observe des coupures intempestives de courant électrique. Un atelier destiné à la remise à neuf des disjoncteurs fonctionne 24 heures sur 24 au Poste de Logbaba. Des techniciens camerounais formés à Grenoble y dirigent les opérations. Après les réparations, on peut obtenir des disjoncteurs pouvant opérer pendant une période de 10 à 15 ans. Les fuites de gaz au niveau des disjoncteurs perturbent énormément le réseau électrique. AES SONEL est en plein renouvellement de ses équipements. Rien que pour l’année en cours, près de 22.000 poteaux en bois ont été remplacés.

La deuxième étape de la tournée de Bilé, nous a permis de fouler le sol de Ndogpassi. Dans ce quartier populeux de la capitale du Littoral, les populations sont confrontées aux coupures intempestives. Après les griefs émis par les chefs de blocs, le DG Bilé et ses collaborateurs ont rassuré la clientèle. Les poteaux pourris seront remplacés. La charge électrique sera renforcée à Ndogpassi. La lutte contre les branchements électriques pirates va s’intensifier. Les SMS vont davantage circuler. Un numéro a été communiqué aux abonnés d’AES SONEL. En cas de problème, il leur offrira de saisir les responsables ‘de la société à partir du téléphone mobile. La direction d’AES SONEL a annoncé, qu’une somme de 3 milliards de FCFA sera consacrée au renforcement du réseau national avant la Coupe du Monde 2014. Pour les prochaines années, des investissements évalués à 200 milliards de nos francs sont prévus. La troisième escale du périple de DG d’AES SONEL a eu lieu à Mbanga Bakoko. Dans ce coin de la cité des Sawa, la Société d’Aménagement de Douala (SAD) a lancé une vaste opération de lotissement. Celle-ci s’étend sur une surface de 40 hectares. Ici le principal problème rencontré est la faiblesse de la charge.

L’entreprise immobilière s’est contentée d’accorder des lopins de terre, en omettant l’électrification systématique des ménages. C’est l’un des plus grands chantiers d’AES SONEL. La visite de Jean David Bilé s’est terminée au Poste de Ngodi Bakoko. Ce milieu fortement induit alimente la zone dite Douala Est. Il donne la possibilité de soulager le Poste de Bassa en cas d’urgence. A Ngodi Bakoko, un nouveau départ est en cours de réalisation. C’est ce dispositif qui va alimenter les logements sociaux de Mbanga Bakoko. L’électricité est un produit qu’on ne peut pas stocké. Le prix du kilowatt ne change pas. Il n’y a que l’Agence de Régulation du Secteur Electrique (ARSEL) qui peut décider de sa hausse. Les réseaux interconnectés (Sud-Nord-Est) et les 25 centres isolés assurent la production électrique nationale. Songloulou, Edéa et Lagdo sont les trois barrages de production que compte le Cameroun.

Il y a des centrales thermiques à Douala, Limbe, Yaoundé etc. Ce qui fait près de 1300 mégawatts de puissance installée. La baisse du niveau des fleuves, le problème de personnel et les actes de vandalisme plombent amplement l’action d’AES SONEL. Le réseau AES SONEL dispose des lignes HT (Haute Tension), MT (Moyenne Tension) et BT (Basse Tension). AES SONEL dispose de 80 transformateurs HT, 8300 transformateurs MT/BT, plus de 800 postes de distribution, plus de 2200 km de lignes HT et plus de 30.000 km de lignes MT et BT. La société se heurte constamment à la difficulté de report de charge d’une ligne vers une autre, la nécessité de maintenance sans perturbation du service, l’indisponibilité de certains ouvrages, la destruction des équipements due à l’incivisme des populations, la croissance de la demande, l’utilisation des matériaux locaux, l’action nocive des soustraitants et la difficulté à planifier.  Jean-David-Bile

1 avril 2014

Cameroun : Le PEV lutte contre les diarrhées à rotavirus

Classé dans : Non classé — ganola @ 10 h 30 min

La campagne de vaccination été lancée par Chantal Biya La Première Dame du Cameroun, ce vendredi 28 mars 2014 au Palais des sports de Yaoundé.

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), les rotavirus sont la première cause de diarrhée sévère chez les enfants de moins de 5 mois. Chaque année, un plus de 500.000 enfants meurent de diarrhée à rotavirus. Ce mal sévit dans plus de 85% des pays à faibles revenus situés en Afrique et en Asie. En Afrique subsaharienne, on estime à 155.000 décès par an dus au rotavirus. La mortalité spécifique est estimée à 90 décès par jour au Nigéria, 60 décès au Cameroun et 12 en République Sud Africaine. La décision concernant l’introduction du vaccin contre les diarrhées à rotavirus au Cameroun prend en compte, outre le rapport coût-efficacité, les problèmes d’accessibilité économique, l’impact financier et opérationnel sur le système de délivrance des vaccins et sur les pratiques vaccinales actuelles, notamment en ce qui concerne l’âge au moment de la vaccination. Du fait de la gravité de ces infections chez l’enfant, la disponibilité des tests diagnostics, le coût du traitement curatif élevé et vu de l’efficacité du vaccin disponible et au regard des résultats des études réalisées par un seul site sentinelle à la fondation Chantal Biya (FCB), on peut conclure que le poids des infections à rotavirus est réel au Cameroun. Le vaccin contre les infections à rotavirus est gratuit et assure une protection efficace, contre les gastroentérites dues à ce germe chez les enfants vaccinés.

Son introduction se fera de manière globale, sur toute l’étendue du territoire national pour les enfants de 6 à 24 semaines. Il n’y aura pas de doses de rattrapage chez les enfants de plus de 12 mois. L’objectif général est d’amener 75% des mères, des parents ou des gardiens d’enfants de moins d’un an, à faire vacciner leurs petits contre les diarrhées à rotavirus d’ici décembre 2014. Les objectifs spécifiques consistent à informer au moins 90% des populations du Cameroun, de l’introduction du vaccin contre les diarrhées à rotavirus dans le PEV de routine. Il faut signaler que le vaccin contre les diarrhées à rotavirus, occupe le onzième rang dans le tableau des vaccins administrés par le Programme Elargi de Vaccination. Les diarrhées à rotavirus sont sévères, très contagieuses, mortelles et fréquentes chez les nourrissons et les petits enfants. Elles sont causées par un virus appelée rotavirus, qui attaque et détruit les cellules de la paroi interne de l’intestin grêle. L’enfant atteint par la diarrhée à rotavirus vomit, perd le poids et est habité par une forte fièvre. Il n’existe pas de traitement spécifique contre les diarrhées. En cas d’attaque, il faut procéder rapidement à la réhydratation du nourrisson par voie orale, et amener l’enfant au centre de santé le plus proche. La vaccination, l’allaitement maternel exclusif jusqu’à l’âge de 6 mois, une bonne hygiène hydro-alimentaire, le lavage systématique des mains après chaque repas, les selles et le contact avec une personne infectée préservent des diarrhées à rotavirus. 

photo vaccination

 

Cameroun : L’Italien Angelo Antonio Torrielo cité dans une affaire de 2.000.000.000 FCFA

Classé dans : Non classé — ganola @ 10 h 24 min

L’ancien prêtre jésuite et actuel ambassadeur de Sao Tomé et Principe aux Nations Unies, a mis sur pied un mécanisme d’arnaque pour ruiner de jeunes hommes d’affaires du Cameroun.

Un quatuor de Camerounais de la diaspora a parrainé la vaste escroquerie. C’est en 2011 que la malheureuse aventure a débuté. Cette mafia savamment orchestrée a engagé la responsabilité de certains cadres de la République. Sur la base d’une lettre montée de toutes pièces à Rome, et sensée soutenir les Grandes Réalisations du président Paul Biya, le réseau d’escrocs a pris tout le monde à contrepied. Ce projet d’Angelo Antonio Torrielo au lieu de combler les attentes, a plutôt brisé les relations d’affaires, tué l’économie nationale et ruiner les espoirs. Une parodie d’entreprise a été mise sur pied. Elle s’appelle COSINT-Cameroun. En ce moment, cette structure doit plus de 2.000.000.000 FCFA aux entreprises camerounaises. Ses responsables disent que rien ne peut leur arriver, parce qu’ils bénéficient de la protection de certaines hautes personnalités. Selon nos sources, il s’agit du MINATD René Emmanuel Sadi, du général de division Josué Youmba, de Foumane Akame et  de Paul Claude Bayem. Ce dernier soutient que son père a été le conseiller du feu président Ahmadou Ahidjo. Bayem précise que son papa a soutenu Paul Biya après la passation de photo angelo torrielopouvoir en 1982.

Les prestataires abusés par Angelo Antonio Torrielo qui sont environ 190, ayant épuisé toutes les voies pour obtenir réparation, sont prêts à descendre dans la rue. Sur le plan sécuritaire, cette option présente des risques de troubles à l’ordre public. La mésaventure a commencé en 2011 à l’Hôtel Mont Fébé, avec l’installation du bureau directeur des Corps Sanitaires Internationaux (COSINT) filiale du Cameroun. Côté camerounais, les principaux acteurs de la mafia étaient Lucien Nguidjol, Fils Alexandre Mbendé, Prosper Nyetam Nyetam et Maurice Baila. Pensant que l’affaire était fiable, Martin Billé Bidjang, Jérémie Aka’a, Pierre Hyppolite Pagop, Hervé Ndillé et Christian Bertin Eyébé ont adhéré au projet. Ces acteurs sociaux ne sont coupables de rien. Antonio Torrielo et ses complices cités plus haut, se sont installés dans les suites les plus luxueuses de l’Hôtel Mont Fébé, sans aucune provision financière. Ayant débordé largement les délais prévus par la réservation à leur été faite et harcelés par les responsables de l’hôtel à payer et à libérer, ceux-ci ont trouvé une astuce, un palliatif, une voie de sortie qui est l’émission des bons de commandes aux entreprises.

Maurice Baila a multiplié les voyages en Europe sur le fallacieux prétexte d’aller          rechercher des financements. L’homme a fait croire aux gens que son action, pouvait précipiter l’arrivée des financements depuis la maison-mère située à Rome. C’est ainsi qu’il a délégué à plusieurs membres de son état-major, le pouvoir de signer les bons de commande et de lui faire des transferts d’argent. Il est à noter que pour Baila, le COSINT n’est qu’un tremplin. Que ce soit le projet de l’eau, ou celui des logements sociaux et autres, rien n’est fait au nom du COSINT. Pour preuve, Baila ayant une plateforme appelée COSINT, qui en même temps est pour lui comme son affaire personnelle, est quasiment démarcheur d’affaire d’où il prélève un pourcentage qu’il transfert directement dans son compte personnel logé à ATLANTIC BANK. Dans ses business personnels, il embarque ses partenaires leur faisant croire que les projets initiés appartiennent au COSINT. Ayant senti que le ministre des Finances veut engager l’Etat du Cameroun, monsieur Baila a refait son passeport. Notre compatriote a abandonné le premier au SED, où Il est poursuivi pour plusieurs infractions pénales relatives, au fonctionnement calamiteux et chaotique du COSINT-Cameroun qu’il a mis en place. On craint que Maurice Baila ne prenne la poudre d’escampette.

 

18 mars 2014

Cameroun : Kareyce Fotso au Cabaret Sauvage

Classé dans : Non classé — ganola @ 12 h 50 min

La chanteuse camerounaise a livré au public parisien tout son talent et son charme musical, à travers son spectacle ce week-end.

Les mélomanes ont encore à l’esprit, la merveilleuse prestation de Kareyce Fotso. Après son passage remarquable sur Radio France International (RFI) la veille du spectacle, les irréductibles ont complètement adhéré à sa musique. L’artiste camerounaise a largement comblé les attentes. Elle façonne ses airs musicaux sur la base des cultures du continent noir. La production de Kareyce est riche et variée. La diva explique que son pays compte plus de 250 ethnies. Et que des esprits malveillants s’appuient sur cette réalité pour semer la zizanie. Cette situation engendre souvent des tensions entre les groupes ethniques. Pour endiguer la haine tribale, Kareyce Fotso compose des chansons en plusieurs langues. Son répertoire offre des œuvres en ewondo, en bamiléké, en douala etc. Cette formule plaît énormément aux défenseurs de l’intégration nationale. Cette grande voix de la chanson camerounaise dispose d’une assiette technique remarquable. Sa puissance vocale ne laisse personne indifférent. Le blues, la soul et les cadences africaines arrosent ses albums. kareyce fotsoAprès plusieurs années d’apprentissage dans différents ensembles musicaux dont Korongo, en 2000 Kareyce Fotso s’est fait découvrir du grand public.

Depuis ce temps-là, elle ne cesse de gravir les échelons sur les scènes nationale et internationale. Ses prestations lors des festivals en France, au Japon, au Cameroun, au Congo-Brazza, en République Démocratique du Congo (RDC) continuent de forger sa réputation. Kareyce Fotso puise son inspiration dans tous les thèmes qui effleurent son esprit. L’amour reste et demeure le thème central de ses œuvres. Durant ses spectacles, plusieurs instruments traditionnels côtoient la guitare. On peut citer le choue, le ndé, le ntem et la sanza. Kareyce Fotso est née chez les Bamiléké et a été élevée chez les Béti. après les études en biochimie et en audiovisuel, elle a directement embrassé le chant, qui a toujours été sa passion. Elle a débuté dans les cabarets de Yaoundé, et s’est faite remarquée par sa présence scénique et sa voix exceptionnelle. En France, dans le cadre de sa résidence « Visa pour la Création » en mai et juillet 2009, la chanteuse a travaillé sous la direction artistique de François Kokelaere. Cet encadreur a dirigé l’Ensemble National des Percussions de Guinée, et a offert au groupe guinéen Wofa de se produire dans le monde entier. De cette rencontre est née un spectacle en solo où Fotso, soutenu par sa guitare dégage des sonorités extraordinaires. 

 

Mondial 2014 : Joseph Owona prescrit l’aventure aux journalistes camerounais

Classé dans : Non classé — ganola @ 11 h 58 min

Lors de la présentation du programme de préparation des Lions pour la prochaine Coupe du Monde, le président du Comité de Normalisation de la FECAFOOT a déclaré que, tout homme de média qui veut couvrir le Mondial doit payer son billet d’avion aller et retour.

Cette annonce fracassante de Joseph Owona a coupé le souffle, aux journalistes qui caressent le rêve d’accompagner notre équipe nationale fanion au Brésil. Depuis que les représentants des médias couvrent les compétitions auxquelles participent les Lions, c’est la première fois qu’on dit ouvertement que leur transport ne sera pas pris en charge. D’ordinaire, il suffit de solliciter une accréditation et se munir de son passeport. Le transport et l’hébergement sont assurés par l’argent du contribuable. Et des fois, une enveloppe atterrit dans les poches des journalistes. Cette formule a toujours marché. Mais d’où vient-il qu’aujourd’hui, on demande aux hommes de médias de débourser plus de 921.000 FCFA, pour rallier Rio de Janeiro à partir de Douala? C’est le minimum qu’il faut balancer, dans les caisses d’une agence de voyage pour obtenir un billet d’avion. Signalons que tout dépend, des heures et des périodes de l’année. En juin 2014, nous serons en période de coupe du monde, et les tarifs vont certainement prendre l’ascenseur. Vu la précarité qui caractérise les entreprises de presse au Cameroun, on se pose la question de savoir d’où viendra l’argent ? La majorité des professionnels de la communication évoluant sans le secteur privé ont du mal à joindre les deux bouts. Ils travaillent des années et des années, sans salaire.

Pour ce qui concerne le passeport, nombre d’entre eux en sont titulaires. A une certaine époque, la sélection commençait sur la base de ce document. Maintenant que l’obstacle a été levé, on demande aux journalistes des médias privés de payer le transport, pour accompagner les Lions dans leur prochaine aventure au pays de Pelé. Cette décision n’aura certainement pas d’effet, sur le traitement princier souvent réservé à la Cameroon Radio Television (CRTV) et Cameroon Tribune. Soulignons que ces structures sont des médias gouvernementaux. Naturellement, nul ne peut scier la branche sur laquelle il est assis. Des esprits voient en cette annonce de Big Jo, une manœuvre subtile visant à écarter la presse dite privée.  Le président Owona a tout de même précisé que, les journalistes qui réussiront à s’acquitter de leurs frais de transport, pourraient intégrer la délégation officielle en terre brésilienne. En d’autres termes, une fois au Brésil, leur hébergement et leur nutrition seront assurés par l’Etat. En français facile, cela s’appelle une aventure. Rien ne garantit que la promesse du professeur Joseph Owona sera tenue. Et même si elle est tenue ! Qui va supporter les frais de transports, quand il s’agira d’aller d’une ville brésilienne à une autre ? Nous savons tou,s comment les voyages officiels tournent souvent casaque pour les journalistes, même quand c’est à l’intérieur du Cameroun. On ne peut que souhaiter une bonne aventure à nos confères.

joseph owona

 

14 mars 2014

Cameroun : Ouverture de la plus grande morgue d’Afrique Centrale

Classé dans : Non classé — ganola @ 11 h 31 min

Cette infrastructure moderne qui a coûté plus de 500 millions de FCFA, est située au quartier Ekounou à Yaoundé, près du Centre de Formation Professionnelle de la Cameroon Radio Television.

La morgue de l’Hôpital Militaire de Yaoundé a été transférée dans l’arrondissement de Yaoundé IV. La nouvelle morgue a été construite en 2007, et son coût est évalué à plus d’un demi-milliard de nos francs. Par sa capacité d’accueil, la morgue d’Ekounou est la plus grande de la sous-région, avec 500 caissons destinés à la conservation des corps. Lors des catastrophes comme celle de Nsam, ses services seront très sollicités. On y retrouve un système de distribution d’eau potable connecté à un forage. Ce dispositif a été mis en œuvre, pour pallier les éventuelles ruptures d’approvisionnement en eau. Inutile de rappeler que dans cette zone de la cité des  Ewondo, les populations sont  tout le temps confrontées au manque criard du précieux liquide. La morgue d’Ekounou est équipée de deux chapelles ardentes futuristes. La première chapelle est capable d’accueillir 42 personnes, et la deuxième offre 46 places assises. A l’intérieur de la morgue, un cubitainer d’une capacité de 2000 litres a été installé pour conserver l’eau. 

A côté cela, se dresse une section ultramoderne réservée à la médecine légale, la recherche scientifique et l’autopsie. Les familles auront l’avantage de s’informer sur les causes de décès. Les étudiants en médecine pourront aussi au sein de la morgue, approfondir leurs connaissances en se frottant aux cas pratiques. Il y a un service d’imagerie médicale muni d’équipements haut de gamme. La morgue d’Ekounou est dotée d’un parking spacieux, d’un poste de garde moderne, d’un corbillard et d’un groupe électrogène de haute puissance. La morgue de la Garnison a été transférée du Quartier Général pour Ekounou, en raison de certains problèmes fondamentaux. On signale notamment la cohabitation avec les mauvaises odeurs, la paralysie de la circulation lors des cérémonies de mise en bière, et surtout l’exiguïté des installations. Le médecin colonel Emile Abeng Mbozo’o, qui assure actuellement  la direction de l’Hôpital Militaire de Yaoundé, vient de montrer sa détermination conduire les réformes.

morgue

 

Cameroun : Les médiocres recrutés à CAMTEL

Classé dans : Non classé — ganola @ 11 h 23 min

 Selon nos sources, le Directeur Général David Nkoto Emane a fait la part belle aux épouses de certaines hautes personnalités de la République, méprisant ainsi les critères de compétence.

Le récent recrutement opéré à la Cameroon Telecommunications (CAMTEL) suscite  la polémique, autour des méthodes utilisées par le DG étoffer le personnel de la société. Selon les bruits qui circulent en ce moment, Nkotto Emané a enrôlé de manière arbitraire les femmes des barons du régime. Ce n’est pas la première fois que le patron de la CAMTEL est indexé à cause de la gestion de son entreprise. L’homme fait tout ce qui lui passe par la tête, au point où on se demande si la maison ne sera pas bientôt mise en liquidation. Deux opérations de recrutement au sein de la structure prouvent qu’on s’achemine sans vers une République de femmes. Sur la base de la décision N°001/DG, le roi David a embauché 9 femmes toutes conjointes de certains cadres de la nation. Il faut signaler que 15 agents ont été recrutés au bout du processus. La décision N°03/DG quant à elle a permis de recruter 17 femmes et un homme. Quand on fait les calculs, on se rend compte parmi les personnels enrôlés, les personnes du sexe faible sont majoritaires.

Ce recrutement dont on déplore la qualité, ne visait qu’à satisfaire les désirs de ses amis. Nos sources indiquent qu’au milieu des recrues, on note la présence de Bina Bidoung (conjointe du directeur du protocole de la Première Dame) ; de Bikélé (épouse du directeur du protocole du chef de l’Etat) ; de Séraphine Fouda (femme du secrétaire général adjoint de la Présidence de la République) pour ne citer que ces exemples. La gestion gabegique de David Nkotto Emané a plongé la CAMTEL dans un océan de dettes. La boite doit éponger une dette de 58 milliards  de Francs CFA dont 30 vis-à-vis d’EXIM BANK.  Les chantiers de la fibre optique et du  téléphone mobile battent de l’aile. Les personnels abusivement licenciées attendent que leurs droits soient payés. Malgré toutes les contreperformances accumulées Nkotto Emané continue de tenir les rênes de la CAMTEL. Le directeur général aurait-il recruté les conjointes des hautes personnalités du Cameroun pour avoir la protection ?

david nkoto emane

 

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